C’est la première fois que je me sens si bien comprise par un confrère et qui, en prime, l’écrit, le revendique et le publie. Merci mon cher Pascal Pellegrino, rédacteur en chef du Journal de Cossonay! Ton article, je l’emmènerai dans ma tombe, serré sur mon coeur! Tu es l’une des grandes joie sur ma route… En attendant de casser ma pipe, j’ai encore bien l’intention de profiter de ma vie et ” d’éclabousser de joie et d’amour”, comme tu l’écris si joliment, tous ceux qui croiseront ma route. Et qu’ils me pardonnent d’ores et déjà, les malheureux qui tomberont sur moi un jour où  les aiguilles de la grande horloge de mon coeur retarderont, avanceront ou se gripperont même parfois! ;-)))

 

 

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