But de la chronique personnelle et apolitique: à travers la traversée des 26 cantons suisse, je partage ce que je vois et e que je ressens, essentiellement la beauté et la bonté qui remontent jusqu’à moi, dans la gratitude du moment présent. Mon intention est de sensibiliser mes lecteurs et les auditeurs de La ligne de coeur à l’importance de pointer sur la positivité pour nous aider d’une part, à traverser les épreuves de l’existence, d’autre part à façonner notre avenir dans la plus haute version de nous-même. Je ne prends aucun parti, sinon celui de la beauté et de la liberté.
Retranscription du direct – langage parlé
Cher Jean-Marc, j’ai atterri dans un petit paradis, au cœur de la Suisse. Dans le canton canton d’Appenzell Rhodes-Intérieures et le Canton d’Appenzell Rhodes-Extérieures. J’ai été reçue trois jours par un adorable couple fribourgo-appenzellois ou apenzello-fribougois si vous préférez, Renate et Christian, qui m’a été recommandé par Françoise et Corinne, souvenez-vous, le couple de femmes qui avaient témoigné dans la Ligne de Cœur il y a quelques temps.
En deux mots, si vous suffoquez avec le port du masque ou si vous êtes claustrophobe comme moi, venez prendre l’air à Appenzell ! Ici, on vit encore au rythme de la courtoisie et du bon sens, de la liberté, de la confiance, des remèdes naturels et dans l’écoute de la nature.
Hier par exemple, grâce à Renate, j’ai rencontré Emil, une sorte de druide appenzellois qui marche pieds-nus et libère les étables, les fermes et les maisons des mauvaises énergies. Il m’a emmenée dans la forêt pour me faire découvrir des haut- lieux d’énergie pour se faire du bien à soi, comme aux autres. Et sa manière d’aider le monde aujourd’hui, c’est en faisant “descendre des énergies positives et de la lumière sur la Terre”. Emil m’a expliqué qu’avec la crise du Covid, nous traversons une nécessité providentielle de passer par de grandes épreuves, par des souffrances et des incompréhensions, voire de la confusion, afin que l’humanité puisse toucher le fond et rebondir dans une direction purifiée et purgée de ses vieilles mémoires de souffrances, et selon des valeurs plus humanistes, spirituelles et fraternelles.
Il dit que nous arrivons à la fin d’un cycle et que cela se traduit par l’épuisement de nos possibilités inférieures et le matérialisme sans foi ni loi. Il dit que nous sommes des exilés de notre nature primordiale. Que nous sommes à la périphérie de nous-mêmes, à force d’être réduits à nos simples appétits matériels ! Bref, il ne se laisse pas attrister ni mettre en colère par ce qu’il considère que la gestion du Covid est une mise en scène politique qui utilise la peur des gens pour les contrôler et enrichir toujours les mêmes milliardaires. Comme il m’a semblé très joyeux et confiant, malgré son désaccord avec la gestion de la crise, je lui ai demandé comment il arrivait à rester positif. Pour me répondre, il nous a emmenées dans la forêt, Renate et moi, pour que je puisse voir ce qu’il accomplit concrètement.
Et ce que j’ai vu, à mes yeux, est très touchant : d’abord, il repère des niches d’énergie pure et vivifiante. Ensuite, il y dépose des fioles d’eau pour la dynamiser. Il tend sa main droite vers le ciel pour capter l’énergie qui vient d’en haut, et dans sa main gauche, il a un pendule pour capter les énergies de la terre. Avec des petits accessoires, comme des stylos en bronze, il fait converger plusieurs énergies, celle des arbres, des sources d’eau, des plantes, etc… vers ces fioles d’eau. Après un certain temps, il rentre chez lui et dépose ces flacons sur une carte de la Suisse, sur celle de l’Europe ou du monde. Il fait cela pour amener de la lumière et de l’énergie d’amour sur les humains, pris en otage dans une contagion de la peur, bien plus grave que celle du virus.
Purificateur de maisons
Il accomplit aussi d’autres soins étonnants : par exemple, depuis qu’un panneau solaire a été posé sur le toit d’une étable, les vaches ne voulaient plus rentrer à l’écurie. Avec des spirales et des flacons d’eau et quelques formules magiques, il a rétabli l’équilibre et tout est rentré dans l’ordre.
Renate m’a aussi raconté qu’il y a plusieurs années, leurs génisses n’étaient plus gestantes et qu’elle s’en préoccupait. Elle a fait venir Emil qui a posé ses fioles magiques aux quatre coins de la maison et la semaine d’après, plusieurs vêlages/grossesse étaient en route !
Emil m’a aussi dit qu’il était très souvent sollicité pour neutraliser les nuisances dues aux ondes électromagnétiques, et la 5G notamment. Il dit que c’est là une pollution beaucoup plus grave qu’on ne le pense et qu’il observe quotidiennement une recrudescence des personnes électrosensibles. Il est évidemment un fervent opposant aux antennes 5G, vous pouvez vous en douter. Il se soigne avec des remèdes de la nature, ne va jamais chez le médecin et porte sur lui des petites spirales qui, dit-il, nous aide à nous relier à la conscience cosmique et à l’amour universel. Je suis repartie avec deux fioles de lumière dans mon sac, à consommer ou à offrir en cas d’urgence !
J’ai fait monter le papa de Renate à bord de Begoodee, un magnifique vieux monsieur de 85 ans qui vit dans l’une des ses fermes traditionnelles, tout en bois, avec des nombreuses fenêtres à petits carreaux, des façades en tavillons, souvent peintes en jaune pâle. Je l’ai tiré par les mains pour l’aider à se hisser à bord et il a perdu ses charentaises dans la manœuvre ! On a beaucoup ri parce que pour lui, Begoodee dans son jardin, c’était quand même une attraction !
Appenzell offre plein de particularités insolites: j’ai vu par exemple une table à pique-nique se lever et se renverser d’un coup toutes les 10 minutes. C’est une œuvre d’art contemporaine. Vous imaginez la tête des visiteurs qui pensent avoir trouvé la plus jolie table d’Appenzell pour manger leur sandwich et hop, dans la figure! Il y a des nains de jardins, des ceintures en cuir avec des vaches, les vitrines des pharmacies présentent 90% de produits naturels, il y a de nombreuses petites boutiques de produits bio. Et puis j’ai adoré ce magasin qui propose à l’entrée le gel désinfectant à côté d’une bouteille d’Appenzeller, vous savez cet alcool aux herbes qui, dit-on, soigne et désinfecte tout !
Il y a encore de nombreux appenzellois qui se promènent pieds-nus, même pour aller à la messe. Renate m’a expliqué que jusqu’il y a encore peu de temps, on disait aux gens et aux enfants d’arrêter d’être à pied-nus dans les mois en R (octobre, novembre, décembre). Mais sa grand-mère qui était une rebelle faisait encore les regains pieds-nus, au mois d’octobre ! Elle n’allait jamais chez le médecin ni à l’hôpital ! Et je crois bien que c’est pour cela que ces Appenzellois ont une santé de fer, c’est parce qu’ils sont tous les jours en contact direct avec notre Terre nourricière. Cette technique de marcher pied-nus, les américains appellent cela le “grounding” et vendent des stages à des prix exorbitants juste pour marcher dans l’herbe! Les Appenzellois ont compris que notre planète portait en elle la meilleure médecine du monde. Et elle est gratuite!